top of page


Notre programme en matière d'éducation repose sur un seul principe : la reconnaissance réelle du métier de l'enseignant, le soutien de la Natione et le respect inconditionnel, corollaire indispensable au rétablissement de son autorité.

Hiérarchie, parents, élèves partagent l'obligation commune de respect des enseignants et du personnel encadrant. Aujourd'hui, ces derniers ne sont pas assez soutenus au quotidien, face à des situations souvent complexes à gérer, où le maintien de la discipline doit prendre le pas sur la transmission des savoirs.

Mettre fin au "pas de vague" dans l'administration de l'éducation nationale et apporter une aide concrète aux enseignants dans leur quotidien.

La diversité des missions des inspecteurs d'académie ne permet pas aujourd'hui d'en faire l'interlocuteur privilégié en cas de difficultés rencontrés au quotidien par les enseignants, notamment en cas de classes difficiles. Nous proposons :

-De dédier une partie de l'encadrement intermédiaire aux seules fonctions d'aide et de soutien des enseignants, et de séparer clairement les missions d'évaluation des missions de soutien.

-De mettre en place un système de référent, sur la base du volontariat, permettant aux enseignants expérimentés, en fin de carrière de se consacrer exclusivement au tutorat de leurs collègues plus jeunes.

Passage de 30 à 18 académies et allègement drastique de la charge bureaucratique.

Il existe 18 régions académiques mais 30 académies, nécessitant la mise en place d'échelons de coordination complexes et contre-productifs. Nous proposons d'aller au bout de la réforme, et de supprimer les 30 académies actuelles en les remplaçant par 18 académie.

Nous y gagnerons en efficacité et les économies réalisées pourront être investies au profit des enseignants et des élèves eux-mêmes, pour l'achat de matériel ou la rénovation des établissements selon les principes de la bioéconomie.

Moratoire immédiat sur la fermeture des classes en milieu rural.

La fermeture des classes en milieu rural contribue à la désertification des campagnes. Les parents, les enseignants, et souvent les élus locaux, y sont opposés, mais se heurtent à une vision comptable, à court-terme, qui ne prend pas en compte l'ensemble des effets secondaires de ces fermetures.

bottom of page